Sur le sol des rues d’Arles et de ses environs, on peut voir s’éteindre petit à petit mais inéluctablement (et ce malgré le travail acharné de certains) un savoir faire local : La salade. Je me suis toujours ému pour cela et chaque intervention d’EDF ou autre crée une nouvelle cicatrice indélébile. « Tu nous saoules avec Arles » me direz vous ! Attendez j’y viens !

Lors de mon arrivée à Siem Reap, j’avais une journée avant de débuter mon marathon dans les temples d’angeor. J’en ai profité pour aller visiter une jeune entreprise créée au début des années 1990. Cette société a deux objectifs.

Le premier, à but social, est d’aider les jeunes des villages alentours à trouver du travail près de leur village d’origine. Une nouvelle session consacrée à l’l’insertion des sourds est créée depuis peu.

Le second, et vous allez ainsi comprendre mon propos sur les malades provençales, est de préserver les savoir-faire traditionnels ancrés dans la culture Khmer.

Ainsi, à quelques pas du vieux marché de Siem Reap, le site que j’ai visité est consacré à l’artisanat. Sculteurs sur bois, sur pierre, peinture ou gravure, chaque spécialité à son espace et la société permet aux visiteurs d’aller observer ces jeunes artisans travaillant avec des outils et des techniques traditionnelles.

Un autre site est consacrée au travail de la soie mais je ne suis pas allé le visiter.