Après un voyage qui finalement, porte à porte n’aura duré que 24h (sic), me voilà arrivé !

Le voyage en lui même s’est bien passé, j’ai pu regarder des films et des séries entre Amsterdam et Portland, manger … des trucs et boire ce que les américains appellent du cafe mais qui en réalité s’apparente a de l’eau noire.

Mes 4 premières heures sur le sol américain, je les ai passé dans une salle d’attente d’aéroport, à Portland.

Le vol de portland a San Francisco me réserve ma première surprise du voyage ! Une rencontre avec Jenny, maman de 39ans qui rentrait avec ses 2 filles de 7 et 4 ans de quelques jours à Disneyland. Cette ancienne prof d’Histoire et d’anglais, m’a tenu éveillé tout au long des 2h de  vol.

Rien de bien exceptionnel pour le moment me direz vous ! Mais le choc culturel arrive lors de la descente de l’avion, alors que je venais de trouver la dernière combinaison possible pour aligner les 3 mots d’anglais que je connais, Jenny me prend par le bras et tiens absolument à me présenter à son mari. Apres m’avoir proposé de passer la première nuit chez eux (j’ai du refuser car j’avais déjà mon hôtel de réservé) elle me donne son numéro et me dit de l’appeler n’importe quand en cas de souci. Cet échange suivi d’une grande accolade (le fameux « hug ») scellant ce pacte d’amitié !

Cela laisse présager quelques belles rencontres ! Les américains sont « Awersome » ( mot employé par Jenny pour ponctuer chacune de ses phrases – équivalent culturel de notre « putain ! »-   si ça peut vous donner une idée de l’état d’esprit). Comme je le pensais avant de partir, je suis bien content si cette image de l’américain hyper enthousiaste pouvait se confirmer !

Puis viens le moment des premiers pas dans San Francisco. Premiers qui seront les dernier du jour, n’ayant pas le courage de sortir à nouveau, je m’effondre sur le lit à 20h après une bonne douche avec en fond la rediffusion du dernier épisode de « Game of thrones » .

Toutefois, les 200m ayant séparés le BART de mon hôtel ont pose le décor ! Mais l’exploration sera pour demain !

MAJ : je fini d’écrire cet article à 4h30 locale (13h30 en France). Le décalage horaire… c’est chiant !